Dans un lycée huppé, une nouvelle professeure (Mia Wasikowska) initie ses élèves aux principes de l’"alimentation consciente". Par Jessica Hausner, une fable à la fois glaçante et ironique sur l'emprise et les dérives de nos sociétés.
Miss Novak vient de rejoindre un prestigieux lycée privé à la demande des parents d’élèves, soucieux de sensibiliser leurs enfants aux enjeux de la nutrition. Au petit groupe qui assiste à son cours, elle enseigne les fondements de l’"alimentation consciente", dont elle est une pionnière : en réduisant la quantité de nourriture qu’ils ingèrent, ils contribueront à sauvegarder la planète, seront en meilleure santé et gagneront en maîtrise de soi. Quelque temps plus tard, la professeure convainc ses élèves les plus assidus qu’il n’est pas nécessaire de manger pour vivre... La directrice et certains parents commencent alors à s’alarmer.
Chic et choc
Ragna nourrit des complexes physiques, tandis qu’Elsa reproduit les troubles alimentaires de sa mère. Fred souffre du manque d’attention de ses parents, partis monter un projet au Ghana, quand Ben, modeste boursier au milieu des ultrariches, est rattrapé par son besoin d’appartenance… Surfant sur l’écoanxiété et le mal-être de cette jeunesse tentée par la radicalité, miss Novak (Mia Wasikowska, tout en douceur trouble) attire ses ouailles dans un club secret dont les membres ont cessé de s’alimenter en dépit des évidences scientifiques. Dans la lignée de Little Joe, son précédent opus, l’Autrichienne Jessica Hausner pose sur cette entreprise d’embrigadement un regard distancié, à travers une mise en scène millimétrée à l’ironie glacée : intérieurs design enfermés dans des cadres géométriques, jeux sur les couleurs, mouvements de caméra sophistiqués, succession des séquences martelée par des tambours… Emmenée également par Sidse Babett Knudsen dans le rôle de la très chic directrice et le duo Elsa Zylberstein-Mathieu Demy en parents effrayés par l’extrémisme de leur enfant, une fable aussi dérangeante que drôle sur la manipulation et sur notre besoin de croire, jusqu’à l’absurde.
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Fuck You America!
I don’t want your hatred.
I don’t want the military decorations and medals you awarded me.
I don’t want your pension money for my distinguished military service and service-connected disabilities.
I don’t want your health care to treat the mental illnesses you caused.
I don’t want more psychiatric ward commitments to keep me alive in a nation that I despise.
I don’t want to be buried in any of your state or national cemetery’s for veterans and military retirees.
I don’t want to be buried anywhere on American soil.
I don’t want any military honors or ceremonies to mark my death.
I don’t want my ashes to be stored on American soil.
I want my ashes or remains to be spread or buried in international waters.
I don’t want your flag anywhere near my body, remains, or ashes.
I don’t want any members of my family other than my spouse to be on the vessel that disposes of my ashes or remains.
My death is not a surrender.
My death as a member of the third gender and transgender population does not mean you won.
It solely marks the end of our association.
You are not the land of the free.
You are not a country getting made great again.
Too much demonstrated hatred throughout your existence extinguishes any claim to previous greatness.
You are a cesspool of zealots that worship a god that does not and has not ever existed.
Enjoy your new royal family and third world dictator.
I refuse to participate any further.
Have that Nazi piece of shit Elon Musk and his DOGE henchmen deduct the savings from my $93,000 of federal pensions from your bankrupt coffers.
The white man decimated and massacred the indigenous populations of the third gender on the lands now called America. It was only fitting that a white person restored it.
You cannot erase non-binary and transgender people because you give birth to more of us each day