La Haute Autorité de santé a rendu son avis vendredi pour les personnes majeures, mais a reporté ses recommandations sur les mineurs, faute de consensus. "Je récuse le terme 'faute de consensus', parce que des
consensus ont été trouvés par des sociétés de pédo-endocrinologie", estime Anaïs Perrin-Prévelle, directrice de l'association.